Comment devenir souverain


Brunch-causerie avec Guy Boissé

04/12/2021Terminer Synopsis de la rencontre:Présentation.Ce qu’ils ont dit.Pourquoi changer de système ne servira à rien sauf si…Comment se changer soi-même.Règles de vies amenant aux changements personnels.Changements collectifs que l’on veut qui se fassent:  comment y arriver.

Comment devenir souverain et changer l’ordre des choses

Il faut lire les lignes qui suivent et les mettre dans le contexte des manifestations que l’on voit présentement partout sur la planète.
Bouddha a dit:  «Vaut mieux marcher seul que marcher avec un idiot»
Sadhguru(1)

, dans le même ordre d’idée ajoute: «Si l’on ne sait pas être seul, alors être ensemble peut être gênant».  Pour ce sage, il faut être capable de réfléchir et d’agir seul sinon, on peut être dépassé par les événements.
Il poursuit: «Quand les gens se rassemblent, généralement, ils sont dans des actions compulsives». Ici, il rejoint complètement les travaux de Gustave Le Bon(2)

qui a observé que les humains en groupe ont un comportement complètement différent que lorsqu’ils sont seuls. Ils perdent leur personnalité et agissent contre leur nature individuelle.
Sadhguru continue en affirmant: «S’il n’y a pas transformation, si les gens se rassemblent dans cet état, il y aura plus de pagaille que de solutions.» Le sage indien fait référence encore ici à notre capacité d’être seul, de pouvoir agir et réfléchir sans le consentement, l’approbation ou la participation des autres. Notre capacité d’être souverain, en somme.
Jiddu Krishnamurti abonde aussi dans le sens de Bouddha et Sadhguru lorsqu’il affirme: «C’est beau d’être seul. Être seul ne signifie pas être solitaire. Cela signifie que l’esprit ne vit pas sous influence et qu’il n’est pas pollué par la société.»
Loin de dénigrer les actions collectives cependant, Sadhguru explique bien que la communauté est aussi possible positivement lorsqu’il dit: «Si vous savez être seuls, alors se rejoindre sera gratifiant et d’une immense valeur. Ça veut dire qu’on s’est rejoint consciemment». Dans ces lignes, le gourou relie la conscience avec la capacité d’être seul, souverain.  Dans ce sens, il rejoint parfaitement le psychanalyste Jung qui écrit: «La communauté ne fleurit que là où chacun se rappelle sa nature et ne s’identifie pas aux autres(3)

». Les travaux de Jung visaient à ce que chacune et chacun réalise son individuation i.e. comment, personnellement, on se différencie parfaitement de tous les autres humains.  On trouve un autre extrait de Jung dans lequel il clarifie sa pensée: Mais il (Jung) reste lucide sur le fait que nombre d’individus, ayant peur de leur propre intériorité, préfèrent suivre des modèles extérieurs et se laissent guider par des institutions ou des sociétés secrètes: «La société secrète est un échelon intermédiaire sur le chemin de l’individuation :  on confie encore à une organisation collective le soin de se laisser différencier par elle; c’est-à-dire que l’on n’a pas encore discerné qu’à proprement parler c’est la tâche de l’individu, de se tenir sur ses propres pieds et d’être différent de tous les autres.  Toutes les identités collectives, qu’elles soient appartenance à des organisations, professions de foi en faveur de tel ou tel -isme, etc., gênent et contrecarrent l’accomplissement de cette tâche. Ces identités collectives sont des béquilles pour des paralytiques, des boucliers pour anxieux, des canapés pour paresseux, des pouponnières pour irresponsables, mais tout autant des auberges pour des pauvres et des faibles, un havre protecteur pour ceux qui ont fait naufrage, le sein d’une famille pour les orphelins, un but glorieux et ardemment escompté pour ceux qui ont erré et qui sont déçus, et une terre promise pour les pèlerins harassés, et un troupeau et une clôture sûre pour brebis égarées, et une mère qui signifie nourriture et croissance(4)

».
Donc, avec ce qui précède, on peut voir que l’action collective ne sera efficace que lorsque, individuellement, on sera capable d’agir seul, d’être indépendant, souverain. C’est pourquoi aussi que changer de système ne servira à rien à moins de se changer nous-même(5)

. Ce sont les individus qui créent la communauté(6)

.
Un autre grand sage du 20è siècle, Gandhi, affirme dans le même ordre d’idée: «Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde. Commencez par changer en vous ce que vous voulez voir changer autour de vous. ».
Pourquoi cet impératif de se changer soi-même? Parce que c’est l’ordre des choses, une condition sine qua non à toute vie!  François Delsarte(7)

a observé que: «Tout ce qui vit est propulsé vers le haut, vers l’avant». Un grand maître des arts martiaux japonais ajoutais: «Nous ne sommes pas nés pour vivre comme des brutes mais pour poursuivre une vertu vers la Connaissance».
Cependant, il faut reconnaître que la Connaissance n’est pas le savoir.
Le savoir est une somme d’information. Il est en lien avec notre intellect. La Connaissance, elle, est une somme d’expérimentations, en lien avec notre cœur. Familièrement, on dirait qu’elle est viscérale. C’est pour cela que beaucoup de sages affirment que: «La vérité se vit».

Comment se changer soi-même
Pour se changer soi-même, il faut adopter des règles de vie, une éthique, une morale qui guide nos actions et nos pensées.  Ne pas baser notre vie sur le regard des autres mais scruter notre comportement. Gandhi affirmait: «La vie sans religion est une vie sans principe, et une vie sans principe est comme un bateau sans gouvernail.».
Il existe une infinité de règles que l’on peut adopter pour guider notre vie et progresser vers la Connaissance.  Toutes les religions, toutes les philosophies en proposent. À vous de choisir. Je vous en suggère quelques-unes.
Georges Gurdjieff(8)

disait à ses élèves de continuellement se regarder agir. Comme si, au-dessus de notre tête, à un mètre derrière nous, une caméra nous observait à chaque instant de notre vie.  Pratiquer cette règle offre l’avantage de nous montrer clairement que nos actions amènent des conséquences spécifiques et que, souvent au début, ce ne sont pas les autres qui sont la source de nos problèmes mais bien nous-même! On apprend alors à ne pas rejeter la faute dans la cour de notre voisin.
D’autres règles nous viennent de Carlos Castaneda(9)

, qui a été initié à la pratique de la sorcellerie issue de la tradition des sorciers de l’Ancien Mexique. Elles visent à augmenter notre pouvoir personnel en accumulant de l’énergie.  Ainsi, dans un premier temps, le sorcier s’attache à perdre sa propre importance.  En ce sens, il apprend à arrêter de se prendre pour le nombril du monde. Il se rend compte que le monde ne tourne pas autour de lui mais qu’il fait plutôt partie du mouvement de rotation.
Une seconde règle de vie des sorciers mexicains: effacer son histoire personnelle. En lien avec la précédente, il s’agit de perdre ses «titres» et ne pas jouir des privilèges qu’ils accordent dans notre société. Posséder un diplôme universitaire, une voiture de telle marque, des vêtements d’une autre, etc., sont des boulets que nous avons à traîner tout au long de notre vie et qui nous empêchent d’être fluides. Posséder un statut social implique la dépense de beaucoup d’énergie pour rien.
Troisième règle de vie des sorciers: ne prendre que ce dont on a besoin. Pratiquer la simplicité volontaire, la sobriété heureuse. Se défaire de ce dont on n’a pas d’utilité et qui représente aussi un boulet lourd à charrier dans notre vie, une perte d’énergie. Posséder le moins que l’on puisse.  Et ceci, autant matériellement qu’intellectuellement et spirituellement.  Se débarrasser des objets encombrants, se lester des principes qui nous ancrent, abandonner des croyances qui alourdissent notre cœur. Posséder entraîne nécessairement la peur, l’angoisse de perdre.
Une quatrième règle de vie: assumer l’entière responsabilité de nos actes.  Ne pas fuir, renier, ignorer les conséquences de nos actes. Toujours, continuellement et à tout propos. C’est sans doute la règle la plus difficile à suivre. Encore une fois, ne pas rejeter la faute dans la cour du voisin.  J’ai enseigné la danse sociale durant quelques années. Après observation, je peux affirmer que le réflexe premier de tout être humain normal, c’est de croire que c’est l’autre qui est dans l’erreur. Ne pas manipuler les autres pour qu’ils nous obéissent et effectuent le travail ou la tâche que l’on devrait effectuer soi-même.  Chaque prise de position implique une conséquence: l’assumer pleinement et en toute conscience.
Cinquième règle de vie: être cohérent… dans tous les aspects de sa vie.  Comme on dit au Québec: «Il faut que les bottines aillent avec les babines». Je regardais une vidéo dernièrement sur les contestations qui avaient lieu à Hong Kong au sujet de la crise politique que tous les pays du monde vivent présentement.  Il y avait des milliers de gens dans la rue.  À un moment, on nous donnait l’image d’une foule de personnes brandissant leur téléphone cellulaire dont l’option «lampe de poche » était en fonction. Vous savez, à une certaine époque, dans les stades par exemple, les gens allumaient leur briquet pour montrer leur solidarité concernant un événement? À la vue de cette image, je me suis esclaffé de rire! Pourquoi?  Simplement parce que ces gens brandissaient l’arme de destruction massive dont l’ÉP(10)

se sert pour les soumettre(11)

. À l’heure où j’écris ces lignes, on vend la 5G pour améliorer, dit-on, la vitesse de circulation des données et augmenter le nombre d’applications que l’on peut installer sur son cellulaire.  Alors, si l’on veut abattre l’ÉP, il faudrait être cohérent et ne plus se servir de son cell. Même chose pour les cartes de crédit dont l’ÉP veut qu’elles remplacent l’argent liquide.  La seule façon de contrer ce plan de l’ÉP, c’est d’utiliser au maximum le cash pour régler les factures. On est aussi contre l’ÉP mais on achète sur Amazon! Je pourrais donner plein d’autres exemples du genre.  Être cohérant dans nos actions.  Personnellement, je ne m’identifie pas du tout avec ces gens qui brandissaient leur cellulaire dans les rues de Hong Kong et je ne désire absolument pas marcher avec eux.
Une sixième règle de vie à observer pour changer soi-même et, par conséquent, changer le monde: agir sans rien attendre en retour. Dans la Baghavad Gîta il est dit: «Accomplir l’acte en perdant le fruit de l’acte». Cela a pour résultat d’arrêter le cycle des causes vs les effets.  Cesser de n’avancer que lorsqu’il y a une carotte devant nous. Le brahmane, celui que les Hindous pensent qu’il est le seul à pouvoir devenir Dieu, possède une motivation intrinsèque. Il n’agit plus en fonction d’un stimulus extérieur. Il n’est plus soumis aux lois de la sélection naturelle.

Comment changer l’ordre des choses
Socrate disait: «Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers». Nous avons un lien direct avec l’univers. Bruce Lipton, Joe Dispenza, Philippe Guillemant, Gregg Braden, entre autres ont fait la démonstration scientifique que l’on crée ce que nous sommes, on crée notre futur, notre vie.  Ce n’est plus une philosophie ou un vœu pieux: la chose est prouvée scientifiquement!
On crée sa vie, on change le monde en focalisant nos pensées sur ce que l’on veut qu’il nous arrive, qu’il arrive dans le monde. Ceux qui nous contrôlent le savent bien. Avez-vous remarqué qu’à la radio (du moins au Québec), il y a interruption des émissions à chaque demi-heure pour permettre la diffusion d’une «capsule d’information».  Et avez-vous remarqué que 99.5% des nouvelles sont négatives? En période de cocovide, on ne parle que de ça… ou à peu près! Il y a une raison à cela:  pour contrôler les pensées des gens. Ce n’est pas une «capsule d’info» qu’on diffuse, c’est une dose de conditionnement, d’endoctrinement, de formatage de la pensée.  Si les gens commençaient à avoir des pensées positives tout le temps, le monde prendrait une tendance défavorable à ceux qui nous contrôlent.  Par exemple, si trop de gens commençaient à se dire que les guerres et les conflits dans le monde cessent pour toutes sortes de raisons, ces guerres et ces conflits stopperaient indéniablement.
Dans le sport professionnel, on parle de visualisation pour définir le contrôle de nos pensées.  Les athlètes se voient faire la course, le saut, la partie de leur vie.  Ils se voient faire des coups magistraux, marquer des points décisifs.  Ils se voient monter sur le podium.
Quand les humains prendront conscience qu’à chaque moment, ils peuvent créer la vie qu’ils veulent, tout changera.  Le plus difficile dans le processus, c’est de se déprogrammer.
Les sorciers de l’Ancien Mexique portent une attention particulière à la volonté et l’intention.  L’intention, c’est le moteur alors que la volonté, c’est la pédale à gaz.  On doit lancer l’intention à l’univers et, par nos actions, notre volonté, les choses arrivent comme on les voulait. Attention, cependant: intention et volonté n’ont rien à voir avec un désir ou un souhait qui, eux, ne sont que des pensées fugaces.  Intention et volonté impliquent tout notre être.  Pour qu’ils soient efficaces, il faut avoir fait un travail sur soi. Il faut avoir nettoyé notre terrain, comme diraient les homéopathes.  Et comment peut-on faire ce job:  en suivant des règles de vie.
Lorsqu’on sort dans les rues manifester, il faut bien savoir ce que l’on veut.
Est-ce que je réagis à une obligation gouvernementale ou si j’exige ce que je veux?  Si je réagis, je laisse le leadership au gouvernement.  Si j’exige, c’est moi qui dicte l’agenda et le gouvernement doit s’y soumettre. Si je réagis contre des mesures, je fais en sorte que ces mesures se manifestent puisque je n’ai que ces pensées dans l’esprit.  Ainsi, je fais le jeu du système.  Je ne change absolument rien à ma piètre situation.  Si j’exige ce que je veux, alors je n’ai que ces pensées dans l’esprit et ces pensées se manifesteront d’autant plus rapidement qu’elles seront partagées par une grande proportion de gens.
Ce que je trouve de positif dans beaucoup des manifestations qui ont eu lieu l’été dernier à Montréal, c’est le fait que les gens se rassemblaient là d’abord et avant tout pour fêter, danser, chanter.  À mon avis, c’est le plus efficace pied de nez à faire à ceux qui gouvernent:  vous voulez brimer nos libertés?  Eh bien voilà ce que nous en faisons de vos obligations:  nous ne cédons pas et nous vous proposons cela.  L’été dernier, lors des périodes de confinement, alors que les bars, restos, cinés, théâtres, spectacles, etc. étaient fermés, les gens se rencontraient quotidiennement dans les parcs de Montréal pour faire la fête.  Et personne ne brandissait de pancarte.
Un monde en fête, dans la joie, le partage, c’est le monde que je veux.

     

      1. Voir sur YT la vidéo intitulée: «La puissance de la solitude»: https://www.youtube.com/watch?v=KDU9I6uuOv0&t=130s.

      1.  Gustave Le Bon, médecin, anthropologue, psychologue et sociologue français qui a, entre autres, étudié le comportement des humains en groupe. Ses travaux ont notamment grandement servi les nazis dans leur propagande durant la seconde guerre mondiale. Ils ont aussi trouvé une oreille très attentive de la part d’Edward Bernays, fondateur du concept de relations publiques. Ce dernier a travaillé pour beaucoup de grosses fortunes afin de redorer leur image et vendre leurs produits ainsi que pour le gouvernement américain pour l’aider à vendre certaines de ses idées. Bernays a notamment écrit le livre: «Propaganda» dans lequel il explique sa philosophie et élabore sur le rôle des relations publiques, lire la propagande publicitaire ou politique. Cet ouvrage débute par ces mots: «La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays.» In: Edward Bernays.  Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie. Éditions Lux, ISBN: 978-2-89596-063-8.

      1. Carl G. Jung.  Ma vie, souvenirs, rêves et réflexions.

      1. In: Frédéric Lenoir. Jung. Un voyage vers soi. Albin Michel. ISBN: 978-222 643-81 95, p. 203-204.

      1. Une vieille blague dit: «Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’humain par l’humain.  Le communisme, c’est le contraire». On aura beau changer de système, si l’humain ne cesse pas d’exploiter ses semblables, s’il continue à toujours d’être corrompu, rien ne changera dans l’ordre des choses.

      1. Prenons l’exemple des macaques japonais. Durant de nombreuses années, des scientifiques japonais ont mené une expérience sur des communautés de singes macaques se trouvant sur de petites îles près des côtes du Japon. Ils ont d’abord commencé à lancer de la nourriture sur la plage des îles. Après un certain temps, sur une île, ils ont observé une femelle en train de laver la nourriture. Ensuite, elle a enseigné cette pratique à ses enfants. Peu après, d’autres membres de la collectivité ont imité le geste et, après une certaine période, tous les macaques de l’île avaient adopté ce comportement. Mais, le plus surprenant de la chose, c’est que plus tard, les scientifiques japonais ont observé le même comportement de la part des autres communautés macaques sur les autres îles où ils livraient la nourriture. Or, ces communautés de singes n’avaient aucun rapport entre elles!

      1. François Delsate (1811-1871), tout au long de sa vie, a observé les humains dans des situations émotives données (sur les lieux d’un accident, à la sortie d’une garderie, lors d’un mariage, au salon mortuaire, etc.). Il a colligé leurs réactions corporelles et en a déduit les lois de l’expression corporelle des sentiments.  C’est le père de ce qu’on appelle aujourd’hui le «non verbal». Ses travaux sont à la base de l’œuvre d’Isadora Duncan, la femme par laquelle le propos de la danse académique occidentale a radicalement changé au tout début du 20è siècle.

      1. George Grudjieff était un maître spirituel oriental au 20è siècle.

      1. Carlos Castaneda a relaté dans une douzaine de livres son apprentissage, auprès de Don Juan Matus, de la sorcellerie de la tradition des sorciers de l’Ancien Mexique.  Son œuvre a été publiée dans plusieurs langues. Dans les années ’90, rares sont les bouquins de «psycho pop» qui ne faisaient pas référence à ses ouvrages. La pratique de la sorcellerie de l’Ancien Mexique débouche, au final, sur l’acquisition de capacités paranormales et de pouvoirs psychiques qui s’apparentent étrangement aux capacités et pouvoirs que les yogis pratiquants du fakirismes développent à savoir: la psychométrie, la clairvoyance, la science du passé et de l’avenir, la vision microscopique et télescopique, la télépathie, la lecture et l’explication de la pensée d’autrui, la vision surnaturelle et celle des choses lointaine, la connaissance du langage des animaux, la compréhension des langues étrangères, le contrôle hypnotique, le contrôle des «esprits élémentaux», le contrôle extraordinaire des fonctions du corps, la lévitation, les voyages «par l’esprit», le déplacement d’objets sans contact, la matérialisation ou la dématérialisation, la guérison par l’imposition des mains ou à distance, etc.

      1. ÉP:  État pro fond.

      1. Allez sur YT, Rumble ou Odyssée et écoutez ce que dit Barrie Trower à propos des cellulaires. Ce monsieur est un physicien, ex-militaire, dont le champ d’expertise était les armes à microondes. Selon lui, on peut rendre les gens malades, induire des pensées dans l’esprit des personnes, stériliser les femmes avec un cellulaire. Et j’en passe…

    L’humain créant lui-même sa vie et son futur par sa pensée, je vous invite ici à formuler ce vœu pour que les choses changent sur Terre, peu importe le pays où vous vivez: Le chef d’état de mon pays, pour une raison surprenante, est évacué de son poste. Tout se passe dans la paix, le calme.  C’est l’ordre des choses et cela me convient parce que je l’ai choisi.
    S’installe à la place un pouvoir de transition qui nous amène dans un monde où la justice et l’honnêteté règnent; où la prospérité se voit partout où l’on pose les yeux. Prospérité matérielle, intellectuelle, spirituelle. Le bonheur se retrouve dans chaque regard. Je me sens enfin chez moi.


    Photo Photo Au sujet de Guy Boissé:Toute sa vie, il a travaillé dans le domaine de l’information et de la communication.Études collégiales en bibliothecnique.Artiste interprète pigiste dans le domaine du mouvement.  Bacc. ès arts (danse).Écrivain:  a écrit et pris des notes toute sa vie.  Beaucoup d’opinion du lecteur dans différents. médias.  A travaillé au journal Voir et à l’Union express, journal de l’Union des Artistes.Écrire, c’est son engagement social comme citoyen participant au débat public.Impliqué dans la cause agricole en 2002 avec la Coalition citoyenne et l’Union paysanne.A écrit et publié 2 livres:  Petit guide pour aborder l’avenir et Rêveries d’un jardinier solitaire.Anime sa page Facebook, qui est la suite du Petit guide.  Agit comme créateur de contenu pour différents groupes sur ce réseau social. Commentateur de l’actualité.